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  Une recrudescence des questionnements sur la maladie d’Hashimoto ces jours-ci.   Je vais donc partager de nouveau un ancien texte.  « Arrête de t’écouter ! Cesse tes sautes d’humeur ! Franchement, t’es folle, tu n’as rien. » Quel malade atteint de cette fichue maladie auto-immune n’a pas entendu ces phrases cinglantes, saignantes, pires qu’un poignard. Lorsque nous apprenons cette maladie, nous n’avons pas besoin d’être en plus jugés, critiqués, montrés du doigt. Il est important que l’entourage soit emphatique, ce qui est de plus en plus rare de nos jour. Même les médecins n’arrivent plus à faire preuve d’humanité. Hashimoto est une maladie auto-immune à vie. On n’en connait pas les causes même si différents courants de pensées proposent des avis différents. Le problème de la maladie de Hashimoto est qu’il s’agit d’une maladie auto-immune. Ce qui signifie que notre propre corps va se rebeller contre les organes en envoyant ses propres anticorps les attaquer. Avec le temps, on peut v

  Je dois bien l’avouer, je n’étais qu’une gamine lorsque ma grand-mère m’a emmenée au salon du livre à Paris.     Ce dernier fut remplacé ensuite en 1981 par la salon de Paris. Aujourd’hui, déplacé de la Porte de Versailles, on l’appelle le festival du livre. Amoureuse des livres, ce salon m’a toujours fasciné et j’ai eu l’immense chance et honneur d’y dédicacer mes romans plusieurs années de suite, quatre ans si je ne me trompe pas.  C’était juste pour l’anecdote. Après pourquoi je ne vais pas cette année au festival du livre. Tout d’abord parce que je n’ai pas trop aimé le dernier l’année passée. L’endroit est beau, certes, mais je ne retrouvais pas l’ambiance de la Porte de Versailles. De plus l’obligation de prendre des tickets pour faire la queue pour acheter ou se faire dédicacer un livre, cela coupe l’élan et la spontanéité. Bon, il est vrai que je ne suis pas une accro aux dédicaces. Hormis de l’auteur ami, je ne vois pas l’intérêt d’avoir un gribouillis sur mon bouquin d’un i

  Trop souvent, personne ne pense à la thyroïde lorsque le moral est fluctuant. Les médecins ont trop vite tendance à mettre tout sur le compte de la dépression, fléau du siècle, quasi incontournable, que l’on soigne avec les fameux antidépresseurs. Ce que l’on oublie, c’est que l’on pose juste un pansement sur une plaie, rien de plus. Lorsqu’un malade se sent dépressif, il devrait pourtant impérativement avoir une recherche de tsh, associée à la t4, t3 et les anticorps thyroïdiens. Bien sûr avec une météo peu clémente ou des soucis de travail, on peut sans problème être fatigué, sans envie, avec un dégoût de la vie. Cela arrive à tout le monde. Seulement, si cela perdure avec d’autres symptômes, il faut penser à une hypothyroïdie. Il faut savoir que 1/4 des personnes ayant une hypo ont des sautes d’humeur, des baisses de moral ou flirtent avec la mélancolie . L’hypothyroïdie correspond à un ralentissement du corps du à un manque d’hormones thyroïdiennes. En clair, la glande endocrinie

  Vous qui commencez cette maladie, vous qui êtes malades, vous le savez bien, c’est difficile de faire comprendre un dysfonctionnement thyroïdien. Pourquoi ? Simplement parce que cela touche tellement de symptômes possibles qu’il est plus facile d’occulter en prétendant que ce n’est pas lié à la thyroïde, c’est « dans la tête ». Pourquoi ne prend-on pas le problème à l’inverse en se demandant est-ce que cette déprime récurante ne serait pas en lien avec la thyroïde ? Est-ce que cette prise de poids inexpliquée ne serait pas liée à un dysfonctionnement de cette glande ? Est-ce que cette constipation chronique n’aurait pas une autre cause que génétique ou alimentaire ? Est-ce que ce taux de cholestérol qui soudain a fait un bond ne serait pas lié à une paresse de la thyroïde ? Et la liste est longue ! J’ai envie de lancer un appel aux jeunes internes en médecine, pour leur dire qu’il n’y a pas que le diabète en endocrinologie, que des millions de malades de la thyroïde attendent une ava

  En mode lecture en ce moment, donc beaucoup de retours, des nouveautés en mars ce qui     a fait le bonheur de toutes lectrices assidues comme moi. Quelques découvertes, des déceptions également, mais c’est le jeu, en clair, lire n’est que du bonheur !   Je rappelle que je ne fais pas de retour de complaisance. Ce n’est pas ma tasse de thé.    Pour cette raison que deux éditions ont refusé un partenariat. Sans regrets. Je trouve cela nul de mentir en particulier aux lecteurs. J’ai mon avis, chacun le sien … Mais congratuler pour faire plaisir, non !   L’ombre du prédateur de Gérard Saryan Taurnada éditions  Thriller  ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️  C'est toujours avec un immense plaisir que je reçois un SP de cette maison d'édition où rarement un livre m'a déçu. Celui-ci n'échappe pas à la règle. Je remercie Joël ainsi que l'édition Taunada ainsi que son auteur pour ce sympathique thriller. Dès les premières pages, j'ai plongé directement dans l'histoire un peu en apnée. Pas